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"Mamie voulait nous transmettre un maximum de choses mais quand on est enfant, on ne comprend pas tout et maintenant il est trop tard". Lise, journaliste et autrice berrichonne, vient de mourir, sans renoncer à transmettre l'amour de leurs racines à ses petits-enfants, qui ont quitté la campagne pour faire carrière aux quatre coins du monde. Pour cela, Sébastien, Judith, Nicolas et Aurore reçoivent chacun un manuscrit, recueil de souvenirs du monde rural. Cependant, une clause du testament de leur grand-mère stipule que, pour hériter de sa maison, ils devront d'abord s'y retrouver une semaine chaque année pendant six ans. La surprise, le mécontentement sont grands et l'organisation de cette semaine compliquée. Mais, qui sait si, année après année, cette pause obligée dans la maison de leur enfance ne leur permettra pas de recentrer leurs vies ?

Une histoire d'amour magnifique, celle d'un jeune homme pour une femme d'âge mûr qui éclaire et modifie son regard sur le sens de la vie. Un livre où la littérature, premier amour de ce garçon, devient vitale. Car dans une ville où règne l'effroi, seul l'imaginaire sauve de l'enfermement... Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.

Il y a des jours où, quand ça ne va plus, une goutte d'eau fait déborder le vase. Ce jour est arrivé : après avoir vaillamment supporté les critiques, les pétitions, les disputes entre membres des équipes paroissiales, le confessionnal vandalisé et j'en passe, Monsieur le curé a disparu. Coup de tonnerre ! Emoi à la paroisse de Sainte-Marie-aux-Fleurs ! Mais où est donc passé Monsieur le curé ?

A la mort de ses parents, Marjorie et sa fille Anouk s'installent dans la maison familiale avec l'espoir d'entamer un nouveau départ. Mais dans cette petite rue du cimetière, il est difficile d'échapper à Ruben, le beau voisin d'en face, qui semble vouloir s'imposer dans leur vie. Difficile aussi d'échapper au vieux Marcel, voisin acariâtre et handicapé dont le seul plaisir semble être d'espionner et critiquer les deux femmes. Si Marjorie a beaucoup à taire, Marcel et Ruben cachent une grande souffrance. Un vieil arrangement secret qui refait surface va ébranler les fragiles remparts et permettre à chacun de se libérer.

"Le coeur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps". Réparer les vivants est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le coeur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour.

La comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna est effondrée : elle a dû se séparer de la quasi-totalité de ses domestiques et la voilà réduite à faire ses propres courses au supermarché. Tout ça à cause d'un fils, beau comme un dieu et bête comme une huître, qui a jugé malin d'offrir le dernier joyau familial à une starlette décérébrée. Pour sortir de ce pétrin, il va falloir faire preuve d'imagination...

Alors qu'elle vient d'enterrer sa grand-mère, une jeune fille rencontre Igor. Cet être sauvage et magnétique, presque animal, livre du poisson séché à de vieilles femmes isolées dans la montagne, ultimes témoins d'une guerre qui, cinquante ans plus tôt, ne laissa aucun homme debout û hormis les " invisibles ", parias d'un monde que traversent les plus curieuses légendes. Un premier roman merveilleux qui se lit comme un conte.

Dans une langue colorée Toinou, 92 ans, se confie à Yves Viollier. Il est loin le temps où elle fuyait à pied le Périgord noir pour la Charente, emmenant avec elle toute sa famille. Si son existence à la ferme a été rude et son quotidien souvent difficile, Toinou ne se plaint pas, c'était comme ça. Et puis, il y avait les bals et la danse, son réconfort. L'émotion étreint le narrateur qui reçoit les paroles de cette femme au grand coeur pour notre plus grand bonheur. Un hymne à la vie !